SHAZAM ! LA RAGE DES DIEUX : Super-héros contre déesses de l’Olympe, un combat de titans – 2ème partie
Article Cinéma du Lundi 13 Mars 2023

Dans cette nouvelle aventure, Freddy n’en fait qu’à sa tête.? Après avoir reçu les pouvoirs des dieux grâce à son frère adoptif et meilleur ami Billy, Freddie Freeman réalise son rêve, mais pas n’importe quel rêve – celui qu’il nourrissait depuis toujours. Toujours en quête de son nom de super-héros, Freddy est dorénavant capable de dépasser les limites imposées par l’adolescence et n’hésite pas à montrer ce dont il est à présent capable, en particulier à une jeune fille qui vient d’arriver au lycée. Mais s'il veut montrer qu'il est prêt à voler de ses propres ailes, il va devoir se mettre en danger. Et pire encore : sans le dire à Billy.

Jack Dylan Grazer, qui retrouve le rôle, explique : « Dans le premier film, les personnages tâtonnaient, et Freddy aidait Billy, alias Shazam, à mieux cerner ses pouvoirs. Désormais, ils ont appris à voler, ils ont des ailes et ils s'envolent. Du point de vue de Freddy, il s'agit de voir ce qu'ils peuvent faire chacun de leur côté, sans l'aide de l'autre. Et en effet, à Philadelphie, Freddy est sur tous les fronts dès qu’il a le sentiment qu’il peut être utile », déclare-t-il.

Pour autant, au sein d’une famille et d'une équipe, l’union fait la force, ce que les adolescents ont parfois du mal à comprendre. « Dans LA RAGE DES DIEUX, les enjeux sont décuplés, les scènes d'action, comme les moments d’émotions, sont au rendez-vous, et trois déesses malveillantes et puissantes menacent nos héros, mais au fond, les protagonistes sont des ados et le film montre que les jeunes cherchent souvent à faire comme s’ils étaient déjà adultes », poursuit Grazer. « Freddy se dit ‘Allons combattre le crime ou faire ce qu'on fait quand on porte une cape et une combinaison de super-héros’ parce qu'il est totalement fasciné par ses nouveaux pouvoirs ».

« Je pense que ce qui va toucher les spectateurs, c'est que nos héros apprennent de leurs erreurs. Ils s’accomplissent en comprenant comment agir en super-héros », dit-il encore. « Billy ne voulait pas vraiment être un super-héros mais il l’est devenu et il a dû apprendre à gérer cette situation nouvelle », explique Sandberg. « Freddy, lui, aspirait profondément à devenir un super-héros et il s’éclate. Il veut aller plus loin, accomplir, seul, ses propres missions, s’assumer comme super-héros à part entière, et pas seulement faire partie d’une famille. Et comme Billy n'est pas vraiment emballé par cette idée et qu’il n’est pas du genre à faire des compromis, leurs relations se crispent ».

Adam Brody avait hâte de revêtir à nouveau la super-combinaison pour incarner le super-héros Freddy adulte. « Le script est excellent car il creuse la personnalité des personnages jeunes et moins jeunes. Il y a des séquences d’anthologie, des clins d'œil savoureux ainsi que des surprises. C’était un vrai bonheur du début à la fin, une version sur- vitaminée du premier film et j'étais emballé à l’idée de pouvoir déployer un peu plus mes ailes, au sens propre comme au figuré. C’est un bonheur d’incarner ce personnage et, cette fois-ci, je suis libre de me l'approprier et de pouvoir l'explorer davantage », détaille-t-il.?Cette liberté, confie l'acteur, a été encouragée par Sandberg. « David est un réalisateur très ouvert. Il obtient toujours ce qu'il veut, mais il nous pousse à faire des propositions et il y est très favorable ».? Brody était enthousiaste à l'idée d'explorer une nouvelle fois la super-facette de Freddy.

« Shazam est prêt à mettre au point les missions dans leurs moindres détails mais Freddy n'est pas aussi discipliné. Il a un peu trop confiance en lui, si vous voulez mon avis. Mais j’imagine que ça fait partie de son charme », dit-il en souriant

Même s'il n’intervient pas dans les scènes où Freddy est simplement lui-même, Brody a apprécié d’observer les échanges entre sa partenaire Rachel Grazer et le Sorcier interprété par Djimon Hounsou : « Djimon est formidable, et par bonheur j'ai quelques scènes avec lui, mais Jack et lui forment le tandem le plus mal assorti du film – et le plus drôle aussi ! – et c'est fabuleux. Je ne révélerai rien de plus mais j'adore l'idée que ce sorcier soit un ressort comique pour Freddy, et vice versa, car en général le Sorcier est un personnage qui se prend au sérieux, surtout quand il a affaire à ces adolescents ingérables ».

Bien évidemment, l'acteur est, théoriquement, l'un de ces adolescents : « Je joue un gamin et j'ai donc adopté un peu de leur fantaisie et, d’ailleurs, tout le monde a fait de même. Lucy (Liu) et Helen (Mirren) étaient assez sérieuses pendant les prises, car leurs personnages l’exigeaient, mais ce n'était pas du tout le cas en dehors du plateau et j'ai vraiment apprécié ça », raconte-t-il.

Au passage, l’aînée de la fratrie Shazam, Mary Bromfield, qui est en passe de devenir adulte, prend conscience que conjuguer ses super-pouvoirs avec un travail et ses études (sans oublier des moments de détente car il ne faudrait pas passer à côté !) nécessite des super capacités.

Grace Caroline Currey reprend son rôle dans cette suite. « Quand on a tourné le premier film, c'était vraiment génial de participer à un film que beaucoup de gens de mon entourage avaient hâte de voir, et cette fois-ci, c'est la même chose. Le film parle aussi du thème de la famille et de l'appartenance, du fait de se sentir à sa place ou pas, de l'amour qu'on donne et qu’on reçoit même sans être lié par les liens du sang, ce que je trouve très beau. Et, comme précédemment, le film aborde la question de la relation entre les enfants et les parents adoptif, ce qui est très émouvant », détaille-t-elle.

Cette fois-ci, Mary voit sa vie changer du tout au tout. « Mary est dans cet entre-deux, puisqu'elle a terminé ses études secondaires, mais qu’elle ne va pas à l'université : elle a parfois l'impression qu'on lui a coupé l'herbe sous le pied, elle ne sait pas ce qu'elle va faire et si elle a fait le bon choix. Comme elle a du mal à accepter sa situation, elle se sent un peu malheureuse et mécontente parmi ses proches », dit-elle encore.

À certains égards, Mary, en tant qu'aînée, est la plus à même de comprendre pourquoi son frère agit ainsi, car elle a toujours eu le sentiment d'être responsable des plus jeunes. « Billy s'accroche aux autres parce que c'est la première fois qu'il a une famille. Il est passé d’un foyer à l’autre pendant si longtemps que, maintenant qu’il se sent entouré, il a du mal à laisser ses proches voler de leurs propres ailes », ajoute-t-elle.

Cette ferme volonté de Billy de maintenir sa famille unie n’aboutit pas pour autant à davantage de cohésion. Grace Caroline Currey reprend : « Ces jeunes essaient de comprendre comment se comporter en super-héros sans y parvenir vraiment, car ils sauvent des gens mais ensuite le pont s'effondre autour d’eux ! Puis, des méchants débarquent et les attaquent, alors qu'ils ne savent pas du tout comment se défendre. Et chaque antagoniste a sa propre trajectoire, notamment Hespera, Kalypso et Anthea, qui sont persuadées d’avoir été victimes d'une grave injustice et en tiennent Billy responsable. Elles estiment que l’éliminer réparera cette injustice ».

Même Dara Dudley, la plus jeune de la Shazamille, a évolué ces dernières années. Tout d'abord, sous ses traits de super-héroïne, Darla est aussi forte que ses frères et sœurs. Pétillante psychologiquement et physiquement, Darla possède désormais des super-pouvoirs qui n'ont d'égal que son émerveillement, sa probité et sa détermination à apporter un peu de douceur dans la vie de tous.

« Darla est dorénavant un peu plus mûre mais elle reste la plus jeune de la famille et la plus optimiste, celle qui voit le bien en chacun », assure Sandberg. « Même quand elle affronte un méchant, elle veut traiter tout le monde équitablement et avec respect ». Et même si elle est a un peu grandi, « elle croit toujours aux licornes ! »

Faithe Herman retrouve le rôle de la joyeuse Darla, qui a su se montrer à la hauteur de la confiance de ses aînés, même quand ce n'était pas facile...

« Darla est formidable dans son rôle de petite sœur, et elle est capable de garder un secret. Cependant, je pense qu'elle n'aime pas cacher des choses à ses proches, même si c'est pour les protéger », explique Faithe Herman. « Dans le premier film, elle voulait vraiment dire à ses parents ce qu'elle avait découvert sur Billy mais à présent qu’elle a des super- pouvoirs, elle comprend que c'est très important pour eux tous que cela ne s’ébruite pas ».

Darla est sans doute assez grande pour qu'on lui confie le plus grand des secrets – le fait qu'elle et ses frères et sœurs soient des super-héros qui combattent le crime à temps partiel –, mais heureusement, au fond d’elle-même, elle reste une petite fille à bien des égards.

« Je pense que c'est vraiment cool que Darla aime les paillettes, les bonbons et les licornes mais qu'elle soit aussi très courageuse et motivée pour accompagner Mary, Eugene, Pedro, Freddy et Billy pour sauver le monde, et qu'elle soit en mesure de les aider », confie Faithe Herman

« J'ai pris énormément de plaisir à jouer Darla », déclare Meagan Good qui retrouve le rôle de la super-héroïne. « Dans le premier film, on a cette grande scène de transformation, où le spectateur les voit pour la première fois obtenir leurs super pouvoirs, mais, cette fois-ci, on court vraiment partout, on peut se battre, sauver des gens et exécuter toutes ces scènes d'action extraordinaires. C'était exaltant d’endosser un nouveau costume et de s'entraîner pour ce film », confie-t-elle.

« J'adore ce personnage et ce qui me plaît tout particulièrement, c’est que les petites filles puissent s’identifie à des super héroïnes, car Darla reste une petite fille », poursuit-elle. « Lev plus génial dans ce film, c'est que ces jeunes vivent leurs rêves. Ils ont une famille, des super pouvoirs déments et ils doivent désormais affronter des déesses, ce qui provoque pas mal de chaos et de folie, mais on a l'opportunité de découvrir la personnalité de chacun et de comprendre pourquoi ils se battent. Ils passent incontestablement par des crises d’adolescence. En effet, ils essaient d'être une unité de combat familiale d'exception de Philadelphie et ils subissent pas mal de critiques et de jugements pour ce qu’ils font de bien ou de mal. Mais ils cherchent à faire de leur mieux et, parfois, il faudrait simplement qu’ils réfléchissent un peu plus avant de prendre des décisions ! »

S'il y avait bien un point qui réconciliait acteurs et techniciens, c’était l’idée de mettre à contribution Zachary Levi pour la musique. « Zach est musicien et, sur le plateau, il jouait beaucoup de musique entre chaque scène. Bien évidemment, on a commencé à danser et chanter puis à demander des morceaux spécifiques et on s'est vraiment pris au jeu. Un jour, alors qu’Helen (Mirren) était sur le plateau, on a passé une chanson et elle s’est mise à danser et à chanter. Et c’était pareil avec Lucy (Liu). On était tous dans nos combinaisons, prêts à tourner une grosse scène de combat, mais on a entendu la musique et on s’est éclatés !" », raconte Meagan Goode.

Dans cette histoire, s'il y en a un qui ne risque pas de se mettre à danser, c'est sans aucun doute Pedro Peña, adolescent timide qui souffre d'un manque de confiance en lui, y compris au sein de sa famille. Mais le fait qu'il parvienne depuis peu à se transformer en super- héros et son nouvel intérêt pour le base-ball lui permettent de s'affirmer progressivement et de montrer au monde entier qui il est au fond de lui.

C'est Jovan Armand qui reprend le rôle de ce jeune garçon réservé qui réfléchit beaucoup trop. « Pedro Peña est très timide mais il y a des choses qu'il aime vraiment, et en particulier la K-pop. Il se met désormais à aimer le base-ball, ce qui rend sa mère Rosa heureuse, car elle peut partager ça avec lui. Dans le premier film, il voulait surtout devenir baraqué, et je trouve très drôle qu'il finisse par avoir une force herculéenne, car c'est finalement ce qu'il souhaitait », témoigne l'acteur.

Outre son alter ego, Pedro garde un autre secret, qu’il hésite à partager, et c'est sa petite sœur qui lui donne finalement la confiance dont il a besoin.

« Pedro a toujours été le garçon discret de la bande. Dans le film, il apprend à s'accepter, tandis que nous apprenons à mieux le connaître et que nous découvrons donc sa véritable identité en même temps que lui », déclare Sandberg.

D. J. Cotrona campe de nouveau un Pedro ultra-baraqué – ou plutôt, Pedro le super héros. « J’étais fou de joie à l'idée de retrouver mon rôle dans SHAZAM ! LA RAGE DES DIEUX », déclare-t-il avec un large sourire. « Le premier film était fantastique, bien entendu, dans la mesure où c’était une formidable histoire sur les origines des protagonistes : Zac, Asher et les autres avaient vraiment assuré et c'était un univers très marrant. Ceux d'entre nous qui avons joué les super-héros de la famille étions un peu plus mis en avant vers la fin, et c'était un petit indice pour faire comprendre ce qui allait se passer ensuite. Du coup, le potentiel du film m'a vraiment donné envie de faire partie de l'équipe et de me donner à fond ».

« Au début de ce film, on est déjà plongé dans un monde où les personnages forment une équipe. Ils évoluent dans un univers où ils sont connus : ils forment une famille de super- héros en vue et bénéficient d'une couverture médiatique. C'est ce que je trouve marrant dans ce film : voir ces gamins essayer de faire coïncider ces deux existences et apprendre à travailler en équipe. Ce paramètre, conjugué à l’envergure beaucoup plus ambitieuse du film et à l’accentuation de sa dimension fantastique, décuple le plaisir qu’on prend à voir ce nouvel opus », déclare Cotrona.

L'acteur a également aimé les rapports entre les deux déclinaisons de son personnage.

« J'étais vraiment enthousiaste à l'idée de raconter son histoire car il y a des facettes de ce garçon auxquelles je m'identifie, si je repense à l’époque où j’étais ado », déclare-t-il songeur. « Je pense que nombre de jeunes très timides, qui manquent d’assurance, essaient de se sentir mieux dans leur peau et c'est très dur pour eux. Tout à coup, ce garçon reçoit ce pouvoir, il devient une sorte de dieu vivant, et même s'il est fort, il manque toujours de confiance en lui. Je trouve qu'il y a là un message intéressant : même si on est investi d’importantes responsabilités et de pouvoir, changeons-nous vraiment au fond de nous-mêmes ? On s’attend à changer un peu, mais ce n’est pas forcément le cas ».

S’il y a un membre de la fratrie dont les compétences n'ont guère évolué depuis le premier film, c’est Eugene Choi. Qu’il s’agisse de combattre le crime ou de préparer son examen de conduite, quand Eugene, accro aux jeux vidéo, prononce « Shazam ! », il convoque ses super-pouvoirs et son formidable talent de joueur dans la vraie vie au moment où il se transforme en super-héros, son alter ego adulte.

Ian Chen, qui joue l'adolescent, confirme : « Eugene est vraiment dingue de jeux vidéo et ça le passionne toujours autant. Je pense que, dans le premier film, on découvre cette facette de sa personnalité parce qu'il crie devant son ordinateur et que, parfois, il perd la notion du temps ! Mais c’est aussi un as des nouvelles technologies, et il sait bien s'en servir, comme la fois où il réussit à infiltrer les systèmes informatiques du gouvernement pour aider Billy à chercher ses parents ».

« Ce film se déroule quelques années plus tard et, à mon avis, Eugene, comme tous les autres, a trouvé sa force », ajoute Chen. « Bien évidemment, ce n'est pas facile de s'habituer à de nouveaux pouvoirs, quels qu'ils soient, Mais deux ans plus tard, ils ont trouvé leur équilibre – ou plutôt, c'est Billy, hostile à tout compromis, qui l'a imposé aux autres. Ils se battent ensemble, quel que soit l’ennemi, et, quand ils viennent en aide aux autres, c'est tous ensemble ou rien ».

Ross Butler enfile de nouveau le costume de super-héros d'Eugene et semble partager l'opinion de Chen : « Je pense que les spectateurs vont passer un bon moment en découvrant comment nous utilisons nos super pouvoirs tous ensemble. On évolue dans ces enveloppes corporelles depuis quelques années, on s'est habitué à nos pouvoirs et à être appelés des super-héros. Bien évidemment, c’est un prétexte pour enchaîner les scènes comiques et, bien entendu, de grandes scènes d'action », dit-il.

En ce qui concerne les évolutions du personnage, Chen affirme : « Je pense que comme il est un peu plus vieux, il devient encore plus malin », déclare-t-il en riant. « Il est à cet âge où les garçons adolescents commencent à être super rebelles et à s'affirmer. La nouveauté de ses super pouvoirs s’est un peu érodée et désormais on voit ce lascar qui joue encore aux jeux vidéo et qui fait l’idiot mais dorénavant il manque un peu de respect à ses parents. Entre son comportement et ses super-pouvoirs, c’est un mélange détonant ».

Bien entendu, les cibles de son insolence sont Victor et Rosa Vasquez, parents adoptifs particulièrement affectueux. S’ils soutiennent leurs enfants dans leurs projets, ils ont conscience des sacrifices financiers nécessaires pour élever leur famille mais ignorent toujours que chacun des jeunes gens peut se transformer en super-héros adulte aux pouvoirs hérités des dieux... ou la cause des coupures de courant dans leur maison !

Bien entendu, la source primaire des super-pouvoirs était censée avoir disparu. Mais quand il est question de magie, cela a-t-il encore un sens ? Après avoir attendu des milliers d'années pour trouver un Champion au cœur pur, le Sorcier choisit finalement Billy Batson, investissant l'adolescent des pouvoirs des dieux et le transformant ainsi en Shazam, super- héros adulte, avant que lui-même ne redevienne poussière. Toutefois, quand la frontière entre le monde réel et le monde magique se brouille, le Sorcier se retrouve affaibli mais invaincu et, mystérieusement, vivant.

Reprenant ce rôle essentiel, Djimon Hounsou remarque : « On a tous pensé qu'il était mort et heureusement, les producteurs l'ont ressuscité. C'est la magie de la fiction, et je suis ravi d'être de retour pour ce deuxième épisode de SHAZAM. C'est exaltant de voir cette étrange famille à nouveau réunie », dit-il.

Pour Hounsou, si Billy Batson est sans doute le héros fictif du film, Levi en a gagné les galons en dehors du plateau. « Zac est arrivé sur le tournage avec beaucoup d'enthousiasme. Il est le pilier de cette famille, devant la caméra et dans la vie. C'est un champion ! », confie l'acteur.

Dans SHAZAM !, le Sorcier s’intéressait surtout à Billy mais, cette fois-ci, il a plusieurs scènes avec Freddy. « Collaborer avec Jack a été très amusant, c'est vrai. Il est vraiment imprévisible, c'est un esprit libre», dit-il en plaisantant, «mais il est merveilleux et naturellement drôle. C'était génial de pouvoir travailler avec ces garçons ».

Par ailleurs, Marta Milans et Cooper Andrews reprennent également du service sous les traits des parents adoptifs, Rosa et Victor Vasquez. « J'étais vraiment heureux à l'idée de réunir à nouveau tous ces acteurs parce qu'ils forment une formidable équipe », souligne Sandberg. « Et ils me facilitent la tâche en tant que réalisateur : avec eux, tout est fluide, ils ne font pas d’histoire, sauf si on en a besoin dans l’intérêt du film et ils m'en donnent à ce moment-là ! Mais hors plateau, ils passent leur temps à rire et plaisanter ».

Si Levi était heureux que toute l'équipe se retrouve pour ce nouvel opus, c'est que « tous les personnages ont évolué : les jeunes ont mûri et sont tous, à tour de rôle, mis en valeur. Ce n'est pas tâche aisée quand il y a autant de personnages ».

« Ils sont super-héros depuis quelques années, mais la situation n’a pas toujours été idyllique pour eux. Ils n’arrivent pas bien à fonctionner en équipe, même s'ils n'ont pas été confrontés aux épreuves du premier opus. Dans la région de Philadelphie, ils ont provoqué plus de dégâts qu'ils n’ont réussi à en éviter. Mais il n'y a pas eu de vrais méchants à l’horizon, et encore moins de super-méchants. Sauf que la situation va bientôt changer », conclut Sandberg.

La suite de notre super-dossier apparaîtra sur ESI dès que vous prononcerez la formule magique « Shazam ! ». Bookmark and Share


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