[Littérature] Tiralia : L’appel de La Source – Entretien avec l’auteur, Richard Itakka
Article Produits Dérivés du Vendredi 30 Novembre 2018

Mars 1954, alors qu’une tempête vient de s’abattre, Alexandre, un jeune garçon, et son père découvrent une petite fille mystérieusement abandonnée dans la forêt de Lascaux. Elle s’appelle Anéa. Ses origines demeurant inconnues, la fillette est recueillie par la famille du garçon. Les deux enfants, inséparables, grandissent dans la maison d’un vieux professeur qui mène des recherches secrètes dans la grotte de Lascaux.
Les années passent. Un jour, le Professeur qui touche au but dans ses recherches disparaît. Peu après, ce sont les parents des deux enfants qui disparaissent à leur tour. Anéa et Alexandre entreprennent alors une quête pour retrouver leurs proches. Commence pour eux un voyage dangereux… Plongés dans un monde fantastique et merveilleux mais terriblement menaçant, les deux enfants vont devoir unir leurs forces pour survivre et percer le mystère de la grotte.


Un mystère. Une menace. Un univers féérique. Laissez-vous emporter à la suite d’Anéa et Alexandre dans une aventure trépidante, à la découverte d’un nouveau monde surprenant.

Entretien avec l’auteur, Richard Itakka

Comment ce projet de roman a-t-il débuté ?

Richard Itakka : j’écris depuis longtemps et l’idée de ce roman m’est venue au début des années 2000. Pendant quelques années, je l’ai gardée en tête. J’avais régulièrement des idées qui me venaient (parfois la vision de scènes très précises) et que je ne manquais pas de noter. Finalement, j’ai écrit les quatre premiers chapitres d’une traite lors de l’année 2008.

Quelles ont été vos sources d'inspiration ?

Richard Itakka : Le postulat de départ m’a été inspiré par deux choses, en premier lieu, un livre qui évoquait la grotte de Lascaux et en second, un grand évènement (à mon échelle) la naissance de ma première fille, Juliette, en 2004. C’est d’ailleurs elle qui a inspiré en grande partie le personnage d’Anéa que l’on découvre au début de l’histoire. Pour le reste, les idées venaient en fonction de choses que je pouvais voir, entendre ou lire, ou encore d’objets que je possédais. L’imagination offre ce petit plus qui mélange le tout et donne un résultat inédit. Un exemple, un jour ou Juliette et moi étions en promenade en forêt, elle a prononcé le mot Olivines. Ce mot m’a tout de suite plu et j’en ai fait en quelque sorte des fées dans mon roman. Certaines idées venaient aussi naturellement au fil de l’écriture, comme si les personnages me dictaient leur histoire.

Parlez-nous de vos personnages et du monde dans lequel se situe l'intrigue…

Richard Itakka : L’histoire se situe au milieu des années 50. Les deux personnages principaux, Anéa et Alexandre, sont deux enfants qui grandissent dans la maison d’un étrange professeur qui mène des recherches secrètes dans la grotte de Lascaux. Par un concours de circonstances, les deux enfants sont amenés dans la grotte où ils découvrent un passage vers un autre monde, Tiralia. Ce monde, qui est peuplé d’êtres et de créatures fantastiques, doit faire face à une terrible menace. Transformés (littéralement), les enfants vont devoir se battre avec l’aide de nouveaux amis, assez particuliers pour certains, afin de venir en aide à ce nouveau monde.

Comment avez-vous travaillé la construction de la structure de votre histoire et développé vos personnages ?

Richard Itakka : Dès le départ, j’ai eu une idée précise des personnages principaux. J’ai établi un plan selon comment je voyais l’histoire se dérouler. J’ai aussi, au cours du processus d’écriture, établi plusieurs chronologies assez précises ainsi qu‘une carte détaillée du monde de Tiralia et des peuples qui l’habitent.

Combien de temps vous a-t-il fallu pour préparer puis écrire ce livre ?

Richard Itakka : Comme indiqué plus haut, les premiers chapitres ont été écrits en 2008, puis après une (très) longue pause, j’ai repris l’écriture en 2017. J’ai rassemblé mes notes, les ai trié et ordonné et repris mes chapitres du début. Il a alors fallu une grosse année de travail (en écriture et relectures) pour aboutir à la version définitive.

Comment les choses se passent-elles ensuite concrètement avec Amazon pour la publication d'un roman ?

Richard Itakka : En fait, c’est assez simple et bien pensé (l’important est que vous restez propriétaire des droits de votre œuvre, Amazon ne signe pas de contrat, il vous offre une vitrine). Il faut bien entendu se créer un compte sur KDP. Le site KDP comporte une rubrique d’aide très bien fournie en guides qui répondent aux nombreuses questions. Il existe aussi un forum qui peut aider. Enfin, Amazon a aussi créé des applications (avec toujours des guides) qui peuvent convertir les fichiers word ou autres aux formats voulus ou qui peuvent vous aider pour la création d’une couverture, etc. Le conseil que je donnerai est de bien de parcourir leurs guides en amont et de réfléchir à ce que vous souhaitez pour le résultat final (notamment en terme de livre broché, le cas échéant) et le prix de vente. Pour le reste, une fois vos fichiers chargés, vous pouvez prévisualiser le résultat en ligne et voir ce que ça donne avant validation. Une fois validé, c’est plutôt rapide, la version numérique peut être en ligne quasi instantanément et la version papier au bout de 24h environ. Pour les personnes qui commande le livre papier, l’impression est effectuée à la demande par l’usine de KDP et envoyé aussitôt.

Disponible en exclusivité sur Amazon, en version Ebook ou livre broché.

Ebook : 3,90 euros ttc

Livre broché : 9,90 euros ttc / 300 pages / ISBN-13 : 978-1719940337 / Dimensions : 13,3 x 20,3 cm Bookmark and Share


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