SIXTINE FAUST de Jonathan Layani

Notre ami Jonathan Layani publie un nouveau roman, SIXTINE FAUST, qui est aussi le début d'une saga fantastique.
Voici la couverture de son ouvrage, et ci-dessous, le lien pour se le procurer, puis sa lettre d'intention, qui vous permettra de découvrir sa démarche et son projet !
https://editions-legacy.sumupstore.com/ ... -entenebre
La lettre d'intention de Jonathan :
"Bonsoir Tout le monde.
Nous y voilà, c’est un nouveau chapitre qui se tourne.
Voici donc mes deux filles de papier, Sixtine Faust et Faustine Sixt aux édition Légacy
Un roman bien moins « Dark » que « Piridion » que j’ai voulu adresser en premier lieu à un public plus jeune comme moins jeune en gardant mon véritable nom sans plus me cacher sous le pseudo de « Prœux ». Un alias que je conserverai cependant pour mes écrits les plus sombres. Avec une violence, une noirceur expurgée du roman précédent pour instiller une atmosphère certes effrayante (ce que je nomme dans l’histoire « l’Enténèbre ») mais bien moins poisseuse et oppressante que dans l’Institut De Vouivre.
Un petit garçon, Rudy, est poursuivi par un cauchemar régulier nuit après nuit, un dénommé Chaagall baptisé aussi le grand Mange-Mitaines ou Le roi Crapaud. Il sollicite donc les services de Sixtine et de sa « jumelle » (oui cela fait beaucoup de guillemets !), deux mercenaires chasseuses d’Ombres pour venir à bout de Chaagall et de son engeance.
Ce roman, je le vois un peu comme le croisement des Contes de Fées, des Croque-Mitaines et d’une certaine psychanalyse des rêves. Mais aussi sur la force des sentiments autour de l’amour, de l’amitié d’un petit cercle d’enfants opposés à la férocité d’un monstre de cauchemar (merci à Stephen King pour l’influence d’un certain roman).
Mme Da Silva, éditrice de l’Imaginaire sous le sigle du Phénix aura accordé à Sixtine sa chance en acceptant de publier mon histoire. Je la remercie ainsi une fois encore d’avoir cru en moi et de me donner ma chance.
« Sixtine Faust », c’est aussi un roman réhaussé par la magnifique couverture d’Elodie qui, en tant que graphiste, a su donner à mes filles une certaine et ténébreuse belle allure. Si l’on ne doit pas seulement juger un livre à sa seule couverture, encore une fois, il faut reconnaitre la sombre beauté de l’image. Avec la silhouette au recto des trois enfants, autres héros du texte, que j’avais insisté pour retrouver sur l’illustration plutôt que la représentation plus cliché et prévisible des différentes créatures de mon histoire.
Et aussi, merci à la correctrice qui aura, avec Mme Da Silva, pris le temps de corriger chaque petite coquille inhérente à un cher trouble Dys !
J’espère que celles et ceux qui me suivent prendront autant de plaisir à me lire que j’en ai eu à écrire cette petite épopée nocturne.
J’écris avant tout pour le plaisir de la création et certains « petits » « éditeurs courageux ont su placer en deux ans leur confiance en moi pour promouvoir cette écriture. Et j’ai le plaisir d’avoir vu cette écriture reconnue plus pour mon style, ma passion que par mes relations dans un Milieu littéraire extrêmement sacralisé depuis bien longtemps. Et dans un genre qui mériterait plus de lettres de noblesse en France, pays où le Fantastique reste aussi énormément connu par la traduction d’auteurs étrangers (et aussi talentueux, pourtant) et pas seulement par la seule force d’auteurs du terroir. Pardonnez l’amertume de ce propos mais il faut reconnaitre que dans la Création, quel que soit le média usité, il y aura toujours une belle présence du Népotisme et ceux qui devront travailler deux fois, trois fois plus dur pour se faire connaitre. Je n’ai pas honte de commencer cependant au bas de l’échelle.
Aussi et parce que nous ne disposons pas de gros moyens de diffusion avec Mme Da Silva, je demande ici votre aide. Et je ne vous demande pas de tous sauter sur la boutique en ligne pour prendre sur le champ mon dernier roman parce cela serait pour moi soutenir un ami, un collègue ou un parent en achetant seulement son livre. Un geste qui compterait énormément pour moi mais qui n’aiderait pas forcément l’auteur à promouvoir son travail. Or si je veux un jour être reconnu autant comme un auteur que l’on apprécie de découvrir que comme l’ami, le collègue, le parent que l’on connait. Et apprécié pour ses qualités, ses défauts d’écriture. En tout cas pour sa sincérité à bientôt quarante balais.
Chers tous, je vous demande surtout de diffuser l’information. De la partager aussi sur les réseaux sociaux. De donner une visibilité à mon travail et à un éditeur qui, comme Frogeater deux ans auparavant, essaye de lutter parmi des Géants. Voire de relayer cette présentation. Comme je le ferai aussi de mon côté avec d’autres médias.
Mais parce que les deux ne sont pas non plus incompatibles, il est aussi permis de prendre le livre dans sa version numérique ou papier proposé par Les éditions Legacy, bien sûr !!!!! Désolé, je me devais quand même de la placer celle-ci !
Plus sérieusement, le bouche-à-oreille, la publicité peuvent faire beaucoup. J’en profite aussi pour remercier ici Lloyd Chéry, un journaliste adorable du Point que je serai tenté de définir comme aussi pop que geek côté Imaginaire et qui m’aura donné quelques sages conseils aussi pour diffuser mon œuvre. Et qui prend toujours aussi le temps de répondre à mes questions malgré un planning journalistique bien chargé.
Voilà, l’on pourrait dire à présent que l’Histoire est en marche. Laquelle ? Ce soir, celle de Sixtine, de Faustine, de Margaux, de Timothy, de Rudy et de l’horrible Chaagall. Mais pas seulement.
Cette histoire, c’est aussi la nôtre à présent. La mienne que j’ai su coucher sur le papier, celle de Legacy qui m’offre aujourd’hui une confiance et une visibilité pour l diffuser...et la vôtre aussi en devenir pour les plus curieux d’entre vous qui souhaiteront voyager jusqu’en Enténèbre.
Celles et ceux qui me connaissent et me soutiennent, bien entendu.
Mais aussi, espérons-le, celles et ceux qui ne me connaissent pas mais sauront m’apprécier à travers chaque mot du roman. Que vous pourrez ainsi et peut-être approcher en étant pour moi des héros ainsi que des hérauts. Qui constituent, d’une certaine manière, un véritable défi pour un auteur méconnu et en mal de reconnaissance.
Bien que vous soyez les premiers à me l’accorder, cette précieuse reconnaissance.
Ces premiers remerciements, c’est donc bien à vous que je les adresse. Et du fond du palpitant.
Merci à vous.
Il était une fois..."
Voici la couverture de son ouvrage, et ci-dessous, le lien pour se le procurer, puis sa lettre d'intention, qui vous permettra de découvrir sa démarche et son projet !

https://editions-legacy.sumupstore.com/ ... -entenebre
La lettre d'intention de Jonathan :
"Bonsoir Tout le monde.
Nous y voilà, c’est un nouveau chapitre qui se tourne.
Voici donc mes deux filles de papier, Sixtine Faust et Faustine Sixt aux édition Légacy
Un roman bien moins « Dark » que « Piridion » que j’ai voulu adresser en premier lieu à un public plus jeune comme moins jeune en gardant mon véritable nom sans plus me cacher sous le pseudo de « Prœux ». Un alias que je conserverai cependant pour mes écrits les plus sombres. Avec une violence, une noirceur expurgée du roman précédent pour instiller une atmosphère certes effrayante (ce que je nomme dans l’histoire « l’Enténèbre ») mais bien moins poisseuse et oppressante que dans l’Institut De Vouivre.
Un petit garçon, Rudy, est poursuivi par un cauchemar régulier nuit après nuit, un dénommé Chaagall baptisé aussi le grand Mange-Mitaines ou Le roi Crapaud. Il sollicite donc les services de Sixtine et de sa « jumelle » (oui cela fait beaucoup de guillemets !), deux mercenaires chasseuses d’Ombres pour venir à bout de Chaagall et de son engeance.
Ce roman, je le vois un peu comme le croisement des Contes de Fées, des Croque-Mitaines et d’une certaine psychanalyse des rêves. Mais aussi sur la force des sentiments autour de l’amour, de l’amitié d’un petit cercle d’enfants opposés à la férocité d’un monstre de cauchemar (merci à Stephen King pour l’influence d’un certain roman).
Mme Da Silva, éditrice de l’Imaginaire sous le sigle du Phénix aura accordé à Sixtine sa chance en acceptant de publier mon histoire. Je la remercie ainsi une fois encore d’avoir cru en moi et de me donner ma chance.
« Sixtine Faust », c’est aussi un roman réhaussé par la magnifique couverture d’Elodie qui, en tant que graphiste, a su donner à mes filles une certaine et ténébreuse belle allure. Si l’on ne doit pas seulement juger un livre à sa seule couverture, encore une fois, il faut reconnaitre la sombre beauté de l’image. Avec la silhouette au recto des trois enfants, autres héros du texte, que j’avais insisté pour retrouver sur l’illustration plutôt que la représentation plus cliché et prévisible des différentes créatures de mon histoire.
Et aussi, merci à la correctrice qui aura, avec Mme Da Silva, pris le temps de corriger chaque petite coquille inhérente à un cher trouble Dys !
J’espère que celles et ceux qui me suivent prendront autant de plaisir à me lire que j’en ai eu à écrire cette petite épopée nocturne.
J’écris avant tout pour le plaisir de la création et certains « petits » « éditeurs courageux ont su placer en deux ans leur confiance en moi pour promouvoir cette écriture. Et j’ai le plaisir d’avoir vu cette écriture reconnue plus pour mon style, ma passion que par mes relations dans un Milieu littéraire extrêmement sacralisé depuis bien longtemps. Et dans un genre qui mériterait plus de lettres de noblesse en France, pays où le Fantastique reste aussi énormément connu par la traduction d’auteurs étrangers (et aussi talentueux, pourtant) et pas seulement par la seule force d’auteurs du terroir. Pardonnez l’amertume de ce propos mais il faut reconnaitre que dans la Création, quel que soit le média usité, il y aura toujours une belle présence du Népotisme et ceux qui devront travailler deux fois, trois fois plus dur pour se faire connaitre. Je n’ai pas honte de commencer cependant au bas de l’échelle.
Aussi et parce que nous ne disposons pas de gros moyens de diffusion avec Mme Da Silva, je demande ici votre aide. Et je ne vous demande pas de tous sauter sur la boutique en ligne pour prendre sur le champ mon dernier roman parce cela serait pour moi soutenir un ami, un collègue ou un parent en achetant seulement son livre. Un geste qui compterait énormément pour moi mais qui n’aiderait pas forcément l’auteur à promouvoir son travail. Or si je veux un jour être reconnu autant comme un auteur que l’on apprécie de découvrir que comme l’ami, le collègue, le parent que l’on connait. Et apprécié pour ses qualités, ses défauts d’écriture. En tout cas pour sa sincérité à bientôt quarante balais.
Chers tous, je vous demande surtout de diffuser l’information. De la partager aussi sur les réseaux sociaux. De donner une visibilité à mon travail et à un éditeur qui, comme Frogeater deux ans auparavant, essaye de lutter parmi des Géants. Voire de relayer cette présentation. Comme je le ferai aussi de mon côté avec d’autres médias.
Mais parce que les deux ne sont pas non plus incompatibles, il est aussi permis de prendre le livre dans sa version numérique ou papier proposé par Les éditions Legacy, bien sûr !!!!! Désolé, je me devais quand même de la placer celle-ci !
Plus sérieusement, le bouche-à-oreille, la publicité peuvent faire beaucoup. J’en profite aussi pour remercier ici Lloyd Chéry, un journaliste adorable du Point que je serai tenté de définir comme aussi pop que geek côté Imaginaire et qui m’aura donné quelques sages conseils aussi pour diffuser mon œuvre. Et qui prend toujours aussi le temps de répondre à mes questions malgré un planning journalistique bien chargé.
Voilà, l’on pourrait dire à présent que l’Histoire est en marche. Laquelle ? Ce soir, celle de Sixtine, de Faustine, de Margaux, de Timothy, de Rudy et de l’horrible Chaagall. Mais pas seulement.
Cette histoire, c’est aussi la nôtre à présent. La mienne que j’ai su coucher sur le papier, celle de Legacy qui m’offre aujourd’hui une confiance et une visibilité pour l diffuser...et la vôtre aussi en devenir pour les plus curieux d’entre vous qui souhaiteront voyager jusqu’en Enténèbre.
Celles et ceux qui me connaissent et me soutiennent, bien entendu.
Mais aussi, espérons-le, celles et ceux qui ne me connaissent pas mais sauront m’apprécier à travers chaque mot du roman. Que vous pourrez ainsi et peut-être approcher en étant pour moi des héros ainsi que des hérauts. Qui constituent, d’une certaine manière, un véritable défi pour un auteur méconnu et en mal de reconnaissance.
Bien que vous soyez les premiers à me l’accorder, cette précieuse reconnaissance.
Ces premiers remerciements, c’est donc bien à vous que je les adresse. Et du fond du palpitant.
Merci à vous.
Il était une fois..."