Bonsoir à tous,
Merci encore de vos réponses.

[Désolé, je n’avais pas vu qu'il y avait une 2e page sur cette discussion

]
Je comprends enfin pourquoi ma question était vague et floue : ça dépend de la qualité artistique...c mais je suis toujours obstiné sur cette question de l'émotion, subjectivité...

En plus, mes profs m’ont dit que c'était une bonne question... mais il m'ont avoué qu'elle était compliqué à traiter... cela semble être le cas. Le T.P.E. final, je dois le rendre au plus tard le
15 mars à 12h00. J'ai donc presque un mois pour encore profiter de vos conseils, pour mon T.P.E.
Voici des infos sur mon T.P.E., en espérant que cela puisse vous aider où je veux en venir :
Pour mon T.P.E. :
Thème : Environnement et progrès
Sujet : Les effets spéciaux au cinéma
Disciplines : Physique-Chimie / Français
Problématique : Un film qui contient des effets spéciaux tels que les images de synthèse procure-t-il au spectateur plus d'émotions qu’un film limité en effets spéciaux ? [Problématique à changer]
Voici mon plan qui était censé répondre à cette fameuse problématique :
Introduction : Le cinéma n’a pas toujours existé. La projection de l’imaginaire contre une paroi, c’est le propre de l’homme. Depuis maintenant plus de 3000 ans, les hommes jouent avec la lumière et l’obscurité pour faire apparaître des ombres chinoises. Dès le XVIIIe siècle, les « lanternes magiques » projettent des dessins peints sur des plaques de verre. Au XIXe siècle, des scientifiques parviennent à animer des images fixes. Au XIXe siècle, le cinéma – appelé 7e art – voit le jour. Cette naissance s’accompagne de la concurrence furieuse dans la course d’inventions miraculeuses pour parfaire une machine capable d’enregistrer la réalité et ainsi la restituer. Aux Etats-Unis, Thomas Edison s’approprie l’ancêtre officiel de la caméra : le kinétographe. En 1895, les frères Lumière – deux ingénieurs français bien connus – perfectionnent le procédé du cinématographe pour le faire passer à la postérité. Cette invention a révolutionné le monde de la culture et des arts du spectacle. Devenu le plus grand moyen de divertissement, le cinéma tend à impressionner de plus en plus le spectateur. Mais il n’est pas toujours réaliste. Avec les nouvelles technologies, on tend de plus en plus à l’irréel depuis les années 1980, avec des ordinateurs de plus en plus performants. Naissent alors les effets spéciaux. Ils désignent l’ensemble des techniques qui permettent de reproduire, créer des scènes, des personnages, des phénomènes… Les réalisateurs s’en inspirent pour créer des effets spéciaux qui sont toutes sortes de techniques permettant de créer et/ou de reproduire des scènes et des personnages qui n’existent pas dans la réalité ou des décors qui seraient humainement impossibles à réaliser comme mettant en jeu la sécurité des acteurs.
I – Le cinéma ; les effets spéciaux et leur évolution
1) Petite histoire du cinéma
a) Ses origines
b) La naissance du cinéma
2) Georges Méliès, le « père » des effets spéciaux
a) Son parcours
- La relation étroite entre magie et cinéma naissant
- La rencontre avec les frères Lumière
- Les premiers effets spéciaux dans Escamotage chez une dame de 1896.
b) Un évènement de sérendipité (heureux hasard) qui va contribuer à l’origine du premier trucage de Méliès : un accident de caméra
c) Le Voyage dans la lune, Georges Méliès, 1902
- Résumé de l’histoire
- Production de l’œuvre
- Techniques d’effets spéciaux
- Interprétation
II – Techniques d’effets spéciaux au cinéma
1) Les effets spéciaux chimiques
a) La carboglace : effets de brume
b) Le chlorate de soude : une fumée intense
c) Les effets d’explosions, de flammes
d) Les effets météorologiques
e) Le latex
2) Les effets spéciaux numériques de décor
a) L’incrustation du décor par fond bleu
b) Les maquettes
c) Le matte-painting
3) Les effets spéciaux de caméra
4) Les animations 3D : exemple de la « motion capture » (capture du mouvement)
III – Etude de deux films
1) Un film d’horreur : La Mouche (titre original : The Fly) de David Cronenberg, 1986
2) Un film catastrophe : Poséidon (titre original : Poseidon) de Wolfgang Petersen, 2006
Conclusion
Voilà. En espérant que cela puisse vous et moi nous éclairer
