

Laurent.
Blue-Sheep a écrit:l'utilisation de la 3-D relief (quand la projection est faite par de bons professionnels, qui règlent bien le matériel, ce qui n'est pas toujours le cas) est impeccable et le rendu absolument pas usant pour les yeux, grâce à la caméra 3-D Fusion qui fonctionne comme les yeux humains (promesse tenue).
J'ai eu droit à de la bonne 3D bien réglée, ce que je dis juste que ma tête qui vient voir un bon film divertissant, n'a pas forcément envie de chercher à faire le point constamment, et ça ça finit par faire mal au crâne. Après je connais nombre de personnes qui n'ont pas eu ce problème. C'est ma perception, j'ai eu beaucoup de mal à suivre pas mal de scènes d'action parce que je ne parvenais pas à faire le point. Comme j'avais dit, jm'en serai passée.
Blue-Sheep a écrit:Et pis pour la SF, en sortant des classiques du genre, on peut tous leurs trouver une critique sur notre société, mais je dis juste que je ne pense pas que ce soit le but de la majorité. Pour avoir lu une grande partie des Asimov sur les robots, je ne vois pas de critiques directes de notre société, la majorité consiste à réfléchir autour des 3 lois de la robotique et de voir les problèmes qui en découlent.
Ça vient peut-être de l'écran IMAX : il est tellement grand, que, comme tu dis, il est sans doute difficile de faire le point constamment. Dans cette salle-là, j'ai vu Harry Potter et le Prince de Sang-Mêlé, dont le début était en relief, et c'était de la 3D pourri : les personnages qui se détachent sur un fond flou, mais cette 3D pourrie ne posait pas de problème de perception, comme tu le racontes. Donc peut-être que cette salle-là n'est pas faîte (dans son rapport écran-salle) pour projeter des films en IMAX 3D. Quelqu'un d'autre a-t-il l'intention de le voir en IMAX 3d pour comparer ? Moi, je me tâte...
Pas du tout d'accord. Les romans, et nouvelles d'Isaac Asimov sont des romans d'anticipation, et traitent plein de sujets de société autres que les robots. Dans Face aux feux du Soleil [The Naked Sun] du cycle des robots, on se trouve sur la planète Solaria qui est une société dont les individus sont triés génétiquement et sont tous génétiquement saints. C'est quelque chose qui se profile aujourd'hui, quand on sait qu'une clinique (européenne, me semble-t-il) propose aux parents le choix du bisounours de leur enfant, par triage des chromosomes. De même, aujourd'hui, avant qu'une femme accouche, on regarde si l'enfant à naître n'a pas de maladie génétique repérable, comme la Trisomie 21 et on propose aux parents l'avortement, en cas de risque avéré. D'où la question posée par Asimov, est-ce que vivre dans une société, où nous serions tous génétiquement saints est une solution ? Et il représente en 1956 ce que pourrait être une telle société.
Blue-Sheep a écrit:furylion a écrit:Pas du tout d'accord. Les romans, et nouvelles d'Isaac Asimov sont des romans d'anticipation, et traitent plein de sujets de société autres que les robots. Dans Face aux feux du Soleil [The Naked Sun] du cycle des robots, on se trouve sur la planète Solaria qui est une société dont les individus sont triés génétiquement et sont tous génétiquement saints. C'est quelque chose qui se profile aujourd'hui, quand on sait qu'une clinique (européenne, me semble-t-il) propose aux parents le choix du bisounours de leur enfant, par triage des chromosomes. De même, aujourd'hui, avant qu'une femme accouche, on regarde si l'enfant à naître n'a pas de maladie génétique repérable, comme la Trisomie 21 et on propose aux parents l'avortement, en cas de risque avéré. D'où la question posée par Asimov, est-ce que vivre dans une société, où nous serions tous génétiquement saints est une solution ? Et il représente en 1956 ce que pourrait être une telle société.
Beh tjrs pas d'accord non plus XD ce bouquin est sorti dans les années 60, c'était un bouquin de SF, aujourd'hui c'est un bouquin d'anticipation de part l'évolution de nos connaissances et de notre technologie. Si on part du principe que tout ce qui est écrit en SF est de l'anticipation sous prétexte que ça a une base dans notre présent, Le guide du voyageur galactique nous explique comment faire un générateur d'improbabilités infinies avec une tasse de thé.
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